ce soir-la, Monika était seul dans sa chambre et elle ne se sentait pas très bien... elle avait besoin de parler et d evacuer ce mal-etre qu elle ressentait. Elle décida donc d écrire a son père qui était parti lorsqu elle avait sept ans... elle lui écrivais souvent des lettres sans jamais les envoyés. Elle pris une feuille et commenca la rédaction de sa lettre:
Cher papa,
Aujourd'hui je me sens plus mal que jamais...je te déteste!! rien que d écrire ton nom me fais souffrir! deux syllabes qui sont si durent a prononcé désormais... Les larmes qui noient mes yeux aujourd'hui ne sont pas de la tristesse mais de colère... pourquoi??? tu n avais pas le droit de me laisser seule, tu entends? moi je t aimais et toi tu m a abandonnée ... aujourd'hui je suis retournée dans notre parc et un sentiment étrange m habitait. Etrange de me retrouver dans un lieu ou ton image me revenait sans cesse... ou mes pensées étaient toutes dirigées vers toi... je te voyait assis sur notre banc alors j ai tendu la main pour te toucher mais elle s est perdu dans le vide... j ai enfin réaliser que ma vie, c était ca! c était de te voir sans pouvoir t atteindre. J ai eu une peine folle a l accepter autrefois , accepter que tu ne soit plus qu un souvenir lointain... Accepter de me réveiller en pleure sans que tu soit la pour me consoler!! ton image m a trop souvent hantée!! As-tu penser aux conséquence lorsque tu nous a lachement abandonné? Non, car tu ne serais pas parti!!
Jaurais du deviner, j aurais du savoir que tu n allais pas bien, j aurais du te retenir...quelques part, je me sens coupable!
Je cherche sans cesse dans ma tête tes attitudes qui m aurais montrer que ca n allait pas.. et je me suis torturée en me disant que j aurais pu t aider et que j aurais pu te faire changer d avis si j avait un peu ouvert les yeux! mais je n avais que 7ans papa!
A cet age la on a besoin de ses parents, mais ni mama, ni toi n étiez présent...
Le jour ou tu es parti, tu as volé la petite fille en moi pour l éternité et j ai du grandir sans elle, et sans toi¨
On ne guéri jamais vraiment d une déchirure comme la mienne....
Je me sens vide........J aimerais oublier que j existe..
Elle lacha son crayon et pleura toutes ses larmes qu elles avait refoulée durant toutes ses années... elle se coucha sur son lit et regarda le plafond, le regard vide